Raviel Griffon d'Argent
Nombre de messages : 253 Age : 35 Date d'inscription : 14/05/2008
| Sujet: Enfin un signe de changement? (Libre -> Pv 1) Jeu 30 Oct - 14:30 | |
| C'est le réveil qui une fois de plus réveilla Raviel, l'extirpant des quelques tourments qui l'accompagnait chaque soir. Il se redressa, passant une main dans ses cheveux. Ses yeux fatigués s'ouvrant peu à peu, le soleil n'était pas encore réveillé. Il se leva puis pris la direction de la salle de bain. Une fois sur place il ouvrit le robinet afin d'y faire couler un filet d'eau chaude qu'il recueilli avec ses mains avant de l'apposer sur son visage.
Il attrapa à l'aveugle une serviette sur le côté qu'il passa sur son visage afin de l'essuyer. Il la jeta sur le plus proche porte-serviette avant de finalement descendre. La maison était toujours aussi silencieuse, il avait presque toujours vécu seul. Il se prépara un rapide petit déjeuner composé d'un café et de quelques biscuit au chocolat. Après quoi il remonta pour faire sa toilette, s'habilla puis se mit enfin en route, fermant soigneusement la porte à clé derrière lui.
Il marchait d'un pas lent et calme, profitant du paysage quelque peu assombri depuis quelques temps à cause des incessantes intempéries. C'est après une petite heure de marche qu'il croisa une personne qui semblait affolée. Il écouta furtivement ce qu'elle disait aux autres passant. Apparemment, elle avait trouvée une porte non loin d'ici. Voilà bien longtemps que Raviel voulait emprunter une de ces portes pour voyager, trouvant sa vie ici bien trop monotone.
Il parcouru alors la direction indiquée afin de trouver cette mystérieuse porte. C'est après quelques minutes qu'il la localisa, dans une petite impasse, cachée entre quelques poubelles de recyclage. D'autres personnes arriveraient bientôt sur les lieux avant que l'armée intervienne et boucle le secteur une fois de plus. Il resta face à elle un long moment afin de bien réfléchir à ce qu'il devait faire. Des bruis de pas se firent entendre non loin de lui, il dirigea alors son regard vers l'inconnu(e) qu'il distinguait avec peine, à première vue celle ci semblait bien pressé(e).
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