Nom : Rosace
Prénom : Alasin
Âge : 21
Sexe : Masculin
Race : Humain
Époque : XXIème siècle
Portrait psychologique : Alasin est dépressif. Très réservé, il ne côtoie les gens que par nécessité première. Il s'attache énormément aux peu de choses qu'il a, que ce soit des objets ou des personnes. La mort récente de sa mère l'a rendu suicidaire. Par extension, il ne s'énerve jamais et reste calme (amorphe dirons certain) quelque soit la situation. C'est un éternel malchanceux. Conscient que de toute façon, il perdra tout, il agit toujours sans aucun intérêt personnel.
Portrait physique : Alasin aurait pu être un beau jeune homme. Mais avec ses cernes sous les yeux, son éternelle barbe de 3 jours et ses cheveux toujours en bataille, il fait plus peur à voir qu'autre chose. Il a le teint très pâle, maladif. Il est relativement grand, 1m80, ce qui accentue sa maigreur. Il a autrefois été judoka, et il a gardé depuis une certaine souplesse et des reflexes. Avec son malheur quotidien, ça lui a déjà sauvé la vie plusieurs fois.
Histoire : Alasin n'a jamais connu son père. Cet homme a quitté sa mère le jour où il apprit qu'elle était enceinte. Sa mère en aura souffert toute sa vie, élevant son fils entre deux verres d'alcool. Alasin a fait des études chaotiques, changé plusieurs fois d'écoles, ne s'intégrant jamais. A l'heure actuelle, il compte sur les doigts d'une main tout les amis qu'il a déjà eus. Il n'a jamais obtenu de diplôme, quel qu'il soit. A 18 ans, il arrêta totalement ses études. Sa mère tomba malade. D'après le médecin, l'alcool et son envi de mourir allait bientôt la tuer. Alasin vécut alors de petits boulots dont la majorité du salaire partait dans les soins de sa mère. Elle finit par mourir peu avant son 21ème anniversaire. Depuis, Alasin est devenu suicidaire, quasiment plus rien ne le rattachant à la vie. Il fit plusieurs tentatives de suicides. Malchanceux jusqu'au bout, il se rata plusieurs fois. La première fois, la corde cassa. La seconde fois, il ne pu trouver d'arme à feu et la troisième fois il ne prit pas assez de médicaments. Maintenant, il hésite. Il passe sa journée assis dans un parc à méditer et/ou maudire sa vie. A l'heure actuelle, la seule chose qui le maintient en vie, c'est de savoir qu'il aura son café au réveil.