Nom :
Prénom : Feya
Âge : 14 ans d'apparende (peut-être en ai-je plus...?)
Sexe : F
Race : Vampire
Epoque : Aujourd'hui ( 21 siècle)
Monde : Monde magique
Portrait psychologique (3 lignes minimum) : Mon caractère peut changer d'un moment a l'autre en fonction de la situation. je n'ai jamais su pourquoi je changeais tellement. Le plus souvent très timide, gentille et douce. Soucieuse de la reaction des autres, je me tais la plus part du temps pour ne pas gêner quelquonque personne.
Pourtant je n'arrive parofis pas à me contrôler, ou je le fais exprès, je ne le sais pas, il m'arrive de m'emporter et de devenir agressive de répliquer sèchement ou, comme beaucoup me le disait,d' être froide.
Portrait physique (3 lignes minimum) : J'ai une longue silouhette élancée qui donne l'impression que je glisse sur les sols.J'ai de long cheveux brun qui me descendent jusqu'a la taille, le plus souvent lachés ou noués en tresse. J'ai une peau pâle, des lèvres charnues, un petit nez lègerement aquilain.
Je porte le plus souvent des robes, courtes ou longues selon mon envie ou le temps. Je suis le plus souvent pieds nus ou en ballerines
Histoire (10 lignes minimum) :
Avançant à travers les branchages épais de la forêt, évitant les troncs qui gisaient au sol et jetant des coups d’œil furtifs en arrière, je trottinais sur le sol d’écorces. Devant quoi exactement je fuyais je ne le savais pas moi-même, mais fuir était sans doute la seule solution plausible. Il me suivait, ca, je le savais.
Tout à coup j’entendis une branche se briser sec. J’accélérais le pas jetant de rapides coups d’œil derrière moi pour essayer de le voir. Rapide ? Des rapides coup d’œil avais-je dit ? Sans doute pas assez rapide pour que je vois le tronc d’arbres mince qui barrais le chemin devant moi. Je trébuchais, et me prenant les pieds dans ma robe, je m’étalais sur le sol terreux. Je me relevais rapidement, ne prenant pas la peine d’enlever le terre sur mes mains, mais c’était… trop tard.
Ils se tenait devant moi, souriant d’un air narquois, les mains sur les genoux penché vers moi. Automatiquement, je reculais à quatre pattes n’essayant même pas de me relever. Je me cognais contre un tronc d’arbre. Perdu. Quoique, ca j’aurais du le remarquer avant.
« -Bonjour Feya… » l’entendit-je dire. Quoi ? c’était à moi qu’il s’adressait ? Quelle questions ! Bien sur que c’était à moi qu’il s’adressait.
« Tu…euh…Vous connaissez mon nom ? » fut la seule réponse que je parvins à prononcer. Il rit.
« Quelle question ! Tu va encore m’en poser d’autre comme celle-ci ? » demanda-t-il sans attendre de réponses.
Ce fut seulement maintenant que je le remarquai vraiment. S’approchant de moins prudemment, non comme s’il avait eu peur, mais sans doute pour que je ne me mette pas à crier, je distinguait mieux son visage. Il était blond, les cheveux mi longs attachés en queue de cheval. La peau pâle comme il n’est pas permis, et un rictus mauvais tracer sur ses lèvres.
« Pourquoi moi ? » demandai-je peut-être simplement pour gagner du temps.
« Parce que c’est toi que je veux…tuer. » répondit-il comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. « Quoique, te tuer serait dommage… je me contenterai donc de te transformer. » Son sourire s’élargit.
J’affichai une mine de désapprobation.
« Tu préférerai que je te tu, n’est-ce pas ? Mais c’est moi qui décide. » ajouta-t-il.
« Si tu n’a plus de questions idiotes... nous pouvons commencer. » dit-il en ricanant. Je devais sembler terrifié.
Et puis, tout à coup… il se jeta sur moi. Pas comme les garçons de ce monde, désormais ancien, qui se jetaient sur les jolies filles pour les embrasser, mais comme un chasseur sur son gibier, comme un lion sur une gazelle, près a la détruire. Je senti ses dents sur ma gorge et puis sa morsure, le feu qui se mit à brûler, son venin qui commençait à se répandre dans mon sang comme un serpent qui glisse à travers les feuillages épais. La dernière chose que je vis avant de sombrer dans le noir des ténèbres fus son visage, son regard méchant et amusé, son sourire puis son rire cristallin exprimant une joie profonde à me voir mourir.
Mon corps s’incendia. Le feu grandit, emplissant tout mon corps, se faufilant dans le moindre recoins de moi-même qui n’était désormais plus qu’une carcasse. J’avais l’impressions qu’une seule corde me retenait encore, noué autour de mon poigné, elle était la seule chose qui me retenait encore à la vie, à cette vie désormais enfer.
En dessous de moi, il n’y avait que ténèbres, le noir complet. La nuit de l’éternité. Mais ces ténèbres m’attirais, comme un aimant. Ce serait sans doute mieux que le feu incontrôlable qui me hantai… Mais je n’arrivais pas à abandonner. Cette corde irrésistible, incassable me retenait à l’enfer du feu que je subissait.
Je ne sais combien de temps je dus rester ainsi… combien de temps ce feu irréaliste enflammait mon corps. Peut-être cela ne dura que quelque minutes, que quelques heures… mais peut-être aussi des jours, des semaines, des mois, des années. Je laissai tomber l’idée des siècles. Lorsque je sentis que l’incendie devint contrôlable, lorsqu’il se retira comme le serpent qui part après sa chasse. Lorsque le feu recula jusqu'à mon cou, il s’immobilisa un instant sur ma gorge. Puis s’évapora. Le ruban noir qui couvrait mes yeux se défit et tomba. Je sentais à nouveau mon corps… Ce que j’avais cru perdu… Ce que j’avais, un instant, voulu perdre.
J’entendis des pas sur un parquet fraichement ciré. Un gazouillis d’oiseaux à quelques lieux non loin de moi. Des murmures de voix graves. J’ouvris prudemment les yeux, de peur que ce feu de l’enfer ne recommence.
Un rayon de soleil traversai la pièce et me frappa. Un instant ébloui, je plissais les yeux. J’était allongé sur un lit au baldaquins de bois foncés et aux ornements d’or. Des longs rideaux blanc bordés de liserais d’or tombai en cascade au bord du lit. Ma tête était posé sur un traversin blanc. Toute la literie était blanche. Une couverture, blanche également, me couvrais.
Je me levai. Me laissant glisser du lit, je me retrouvais devant une glace immense.
Je découvris une jeune fille sans doute de mon âge, mais beaucoup plus belle. Elle avait de long cheveux brun qui lui descendait jusqu'à la taille qui lui ruisselaient sur les épaules comme de l’eau. Elle avait une peau pâle, blanche qui la rendait absolument magnifique. Son petit nez aquilin lui donnai un air enfantin. Elle avait de belles lèvres charnues teintés d’un rose très clair. Cette chambre devait lui appartenir. Seule une personne aussi belle et d’un haut rang pouvais habiter ici. J’avançais la main pour essayer de toucher sa peau blanche qui, illuminé par un rayon de soleil, brillait comme milles diamants. Je ne trouvais que le miroir. Etait-ce possible que ce fut moi ? Non ! Complètement impossible. Je penchais la tête de côté pour mieux l’observer. Elle fit de même. Alors peut-être que si ? Peut importe. Il fallait que je parte. Maintenant.
Je scrutait la pièce à la recherche d’une fenêtre que je trouvais aussitôt. Je m’y dirigeai et sortit. Je marchai lentement sur les gravier pour ne pas faire de bruit. J’aperçu à une trentaine de mètre une forêt épaisse. Je m’y dirigeais et une fois à la lisière me mis à courir.
Je m’étonnai de la vitesse à la qu’elle je courais. Je me sentais extrêmement légère, rapide comme le vent, silencieuse comme la brise du soir.
Au par avant j’avais remarqué que j’avais l’ouïe très fine. Mais ce que je voyais à présents était aussi étonnant. Je distinguait chaque feuille d’arbres, quand même je courais. Je comprenais à présents pourquoi ce jeune homme blonds qui m’avait poursuivis et.. « mordu » pouvait courir aussi vite sans se cogner à quelque conque arbres, sans se prendre une branche dans la figure.
Je percevais chaque écoulement de ruisseau, chaque gazouillis des oiseaux, chaque murmures de la forêt. Et je voyais toutes les minuscules feuilles des arbres, toutes les aiguilles des sapins, tout les morceau d’écorce qui jonchaient le sol. Je sentait chaque odeur, aussi compliqué soit-elle, de la forêt.
« Je perçus les éclaboussures de langues entrain de laper, le martèlement de gros cœurs, le feulement d’un sang épais courant dans des veines… Je me concentrais à présent sur les odeurs ; les riches effluves de la terre, des racines et de la mousse, la résine de spins, l’arôme de noisette des petits rongeurs qui se cachaient au pieds des arbres. Puis, tout à coup, l’odeur fraîche de l’eau, étonnamment peu attirantes malgré ma soudaine soif. Remontant le torrent, je dénichai le fumet qui accompagnait les bruits de lapement et les chamades des cœurs. Des fragrances tièdes, puissantes, plus forte que les autres. Et presque aussi peu appétissantes que le ruisseau. Je fronçais le nez. » Je suivi l’odeur , longeant le ruisseau. « Tapis dans les fougères, j’aperçus un gros mâle dont la tête s’ornait de deux douzaines d’andouillers ; les silhouettes des ses quartes compagnons se découpaient sous la ramure. Ils s’enfonçaient dans la forêt à pas lents.
Je me focalisais sur le fumet du mâle et sur le points chaud qui, au niveau de son cou velu, abritait une pulsation plus forte. Trente mètres-deux ou trois bonds-nous séparaient. Je me tendis, prêts à m’élancer. » (extrait du livre Révélation de Stephenie Meyer)
Je sautais. Je n’eu aucun mal à atteindre la bête et je me jetais à son cou d’un coup violent, lui brisais le cou. Je plantais mes dents dans la fourrures et parvins jusqu’au veines. Le sang chaud me parvint .
Lorsque j’eu vidé l’animal de son sang, je me remit en quête du reste du troupeau. Je n’eu aucun mal à le trouver et attaquait un deuxième animal. Puis un troisième. Trouvant dommage de ne laisser que deux bêtes seules et voulant complètement calmer ma soif, j’éliminais aussi les deux autres bêtes.
Je vécu ainsi pendant une année. M’efforçant de me nourrir de sang animal, car la seule idée de tuer un être humain me répugnais. Courant toujours, je finis par arriver ici…dans ce monde encore inconnu.
Mer 17 Déc - 12:41
Je n'ai pas pu resiter à l'envie d eme faire u eprsonnage facons Bella, et de copier le bouquin que j'aime^^
